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Omar Sharif morreu, minhas lembranças. Mais Gallery SP, As mais lindas da TV Globo, Boate Aquárius com Rubens Ewald Filho e Olney Kruse e a coluna do Zózimo do RJ. A morte de uma amiga em Roma: Vania Guerreiro. Saudades de Giancarlo Bolla (01 ano em 2015).

As mulheres mais bonitas do Brasil em Brasil 78 TV Globo
Rosemary, Christiane Torloni, Marlene Silva, Alcione Mazzeo, Simone Carvalho, Monique Lafond, Maria Claudia....



Inauguração do Gallery com Giancarlo Bolla, Ugo Di Pacce, Gugu de pacce e José Victor Oliva. 1979



1979- Boate Aquárius SP Bela Vista- Lançamento do filme 1900 de Bernardo Bertolucci. Rubens Ewald Filho e Olney Kruse.



Loveliness Giancarlo Bolla!


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Minha conhecida de boas memórias paulistanas Vânia Guerreiro morreu em Roma em setembro de 2015.

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O carisma, o charme e o estrelato de toda uma época vão ficar eternamente gravados na minha memória. Omar Sharif entrou na Boate Régine's São Paulo em 1981, dia da inauguração 31 de março, 1982, primeiro aniversário e 1984, torneio de gamão e hipnotisou todos os presentes. Ficava no Maksoud Plaza, ia ao Sheraton dos Mofarrej. Foi um tempo , foram anos incríveis. Em 1998 não quis descer de sua suite no Maksoud como havia me prometido, para uma sessão de fotos para CARAS. "Já disse que não quero mais descer e pronto! Me deixe em paz!".
- Eu te perdôo!
Ovadia Saadia, outubro de 2015- SP










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L'acteur égyptien Omar Sharif, né Michel Chalhoub, est décédé vendredi à l'âge de 83 ans, au Caire. Son agent, Steve Keniss a précisé que l'acteur est«mort cet après-midi d'une crise cardiaque.
Il était dans un hôpital spécialisé pour les patients atteints d'Alzheimer».

L'ex-ministre égyptien des Antiquités et égyptologue de renom, Zahi Hawwas, qui faisait partie de ses proches amis, a confirmé la mort de l'acteur légendaire dans une clinique huppée du Caire, où il avait été admis il y a un mois, affirmant que les obsèques pourraient avoir lieu dimanche. «Son état psychologique s'était détérioré, il ne mangeait plus et ne buvait plus», a affirmé Zahi Hawwas.







En mai, on apprenait par son fils, Tarek El-Sharif, que son père était atteint de la maladie d'Alzheimer, dans une interview accordée au journal espagnol «El Mundo». Il est devenu une légende du cinéma grâce à ses rôles dans «Lawrence d'Arabie» et «Docteur Jivago». La maladie l'avait contraint à s'éloigner des plateaux en 2012, après une dernière apparition dans «Rock The Casbah», de Laïla Marrakchi, clôturant une carrière riche de plus de 70 films. 






Né le 10 avril 1932 à Alexandrie, dans une famille de négociants en bois précieux d'origine syro-libanaise, Michel Chalhoub est élevé dans le rite grec-catholique melkite. Il se convertit à l'islam avant son mariage avec la star égyptienne Faten Hamama, avec qui il aura un fils, Tarek. 




Sa carrière est lancée par le réalisateur égyptien Youssef Chahine, qui le fait tourner en 1954 dans «Ciel d'enfer». Avec sa femme pour partenaire, il jouera son premier rôle occidental dans «La châtelaine du Liban» de Richard Pottier, en 1956. 

Il devient une véritable vedette internationale après «Lawrence d'Arabie» (1962), qui lui vaut le Golden Globe du Meilleur Second rôle. Couronné en 2003 par un Lion d'or au festival du film de Venise pour l'ensemble de sa carrière, il reçoit en 2004 le César français du meilleur acteur pour «Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran» de François Dupeyron.

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Omar Sharif, le prince charmant venu d'Orient

ISPARITION - Le comédien d'origine égyptienne, grand séducteur et joueur passionné, est décédé vendredi à l'âge de 83 ans. Il était entre autres l'interprète mythique du Docteur Jivago et de Mayerling.

de sa vie et de sa carrière mais c'est dans son pays natal qu'il s'est éteint, vendredi, à l'âge de 83 ans. «Il est mort cet après-midi d'une crise cardiaque au Caire. Il était dans un hôpital spécialisé pour les patients atteints d'Alzheimer», a annoncé son agent, depuis Londres.
Prince arabe, archiduc autrichien, conquérant mongol, docteur russe, guérillero castriste, tsar… Son physique de jeune premier n'aura pas empêché Omar Sharif de se glisser dans les rôles les plus divers, parfois inoubliables. De son vrai nom Michel Chalhoub, il est né le 10 avril 1932 à Alexandrie, dans une famille d'origine syrienne. Il a confié qu'il rêvait depuis toujours de devenir acteur. Il goûte au théâtre amateur au Victoria College mais, après ses études en mathématiques et physique à l'université du Caire, il rejoint sagement la société familiale de négoce de bois précieux. Comme le jeune homme n'a pas vraiment le sens du commerce, son père, Joseph Chalhoub, finit par accepter sa vocation. Le fils envoie une demande d'inscription à la Royal Academy of Dramatic Arts, à Londres. Avant que la réponse n'arrive, il rencontre par hasard le cinéaste Youssef Chahine qui lui offre ses premiers rôles dans Le Démon du désert etCiel d'enfer, sortis tous deux en 1954. Michel Chalhoub prend alors le pseudonyme d'Omar El Sharif. En 1956, troisième film avec Chahine, Les Eaux noires. Cette fois, le jeune comédien prend du galon et partage l'affiche avec la grande vedette égyptienne du moment, Faten Hamama, qu'il a épousée en 1955. Il s'est converti à l'islam pour ce mariage. Le couple, qui aura un fils, se séparera en 1968 alors qu'Omar Sharif est devenu une star internationale. Ils divorceront en 1974.
En 1962, David Lean lui confie, dans Lawrence d'Arabie, le rôle du prince Ali Ibn Kharish, compagnon de route de T.E. Lawrence qu'incarne Peter O'Toole.
L'acteur égyptien, qui a simplifié son pseudonyme en Omar Sharif, reçoit le Golden Globe du meilleur second rôle et une nomination aux Oscars. L'acteur polyglotte (il parle le français, l'arabe, l'anglais, le grec, l'italien…) s'installe à Hollywood, fait ses gammes avec trois films mineurs avant de retrouver David Lean pour le Docteur Jivago, avec Julie Christie. Omar Sharif gagne le Golden Globe du meilleur acteur mais l'oscar lui échappe. En 1968, Terence Young l'entraîne dans une autre fresque romanesque, Mayerling, avec Catherine Deneuve.

Le «Sharif de ces dames»

Son rôle le plus intéressant pourrait finalement être celui du major Grau dans un étrange polar, La Nuit des généraux (1967) d'Anatol Litvak. Pendant la Seconde Guerre mondiale, un officier allemand traque sans relâche un général SS (Peter O'Toole) tueur en série de prostituées. Le major joue les Colombo (têtu comme lui mais sans son humour) tandis que l'Europe invente le crime de masse. En 1968, Omar Sharif s'essaie à la comédie musicale avec Funny Girl de William Wyler. À l'écran comme à la ville, il file le parfait amour pendant quatre mois avec sa partenaire féminine, Barbra Streisand. L'acteur y gagne sa réputation de séducteur, de «Sharif de ces dames», selon un bon mot dont la presse ne s'est jamais lassée. «On m'a prêté des aventures multiples, se confie-t-il, un brin désabusé, dans Le Figaro, en 1982, alors que je n'ai pu maintenir aucune liaison stable et régulière avec une femme. Je ne suis qu'un don Juan mythique. Au fond, ma vie est un échec.»

«Un film de retard sur mes dettes»

Plus que le cinéma ou les femmes, sa grande passion aura été le bridge. Dès les années 1960, il a participé à des tournois internationaux, puis tenu une chronique dans les journaux, édité des cartes à son effigie et parrainé des jeux vidéo sur le bridge.
Il a aussi beaucoup fréquenté les hippodromes, devenant même l'icône des turfistes en posant pour la publicité de Tiercé Magazine: «Les courses, vous le savez, c'est ma grande passion!», disait le slogan.
Il a surtout flambé dans les casinos. Toujours au Figaro, il confie: «Tu sais, le jeu pour moi m'a tenu lieu de famille. Je n'ai pas de foyer. J'ai loupé mon coup avec les femmes. Je suis un nomade. Rien ne m'appartient, même pas mon appartement parisien qui est en location.»
À sa biographe, Diane Saenger, en 2006, il explique: «Vous jouez pour ressentir une émotion, pour combattre l'ennui et la solitude. C'est tout.» Il se refaisait grâce au cinéma, quitte à accepter n'importe quel rôle. «Quand je jouais beaucoup, j'étais tout le temps fauché. J'avais toujours un film de retard sur mes dettes.» En 2003, il efface ces films alimentaires en interprétant l'épicier philosophe de M. Ibrahim et les Fleurs du Coran, le film de François Dupeyron tiré du roman d'Éric-Emmanuel Schmitt. Le comédien reprend alors la main et rafle le césar du meilleur acteur.
**ERA UMA FESTA
Em Paris, certa vez, o ator Omar Sharif, falecido sexta-feira (10), fez parte do grupo de “brazucas” que agitava a boate Regine’s, de Regine Choukrum. Ela, depois, chegou até a abrir filial no Rio de Janeiro.*


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Há umas três semanas, meu amigo, o colunista Ovadia Saadia, que o conhecia dos tempos que o ator vivia no Brasil na Boate Regine´s, me disse que Omar Sharif estava muito doente. Ele tinha Alzheimer desde 2012.  e hoje, 10 de julho, ele faleceu de um ataque do coração em seu país natal, o Egito. Tinha 83 anos. Pode ser que muita gente hoje não saiba quem ele é, afinal sua última participação numa grande produção foi em 2004, emMar de Fogo (foto), ao lado de Viggo Mortensen. Mas ele nunca parou de  trabalhar. Seu último filme exibido no Brasil  é de 2013, Um Castelo na Itália, onde fez uma aparição especial como ele mesmo.




Seja como figura do jet set, ou como um grande jogador de bridge, ele parecia sempre um pouco triste em suas entrevistas. “Eu era um homem solitário vivendo com uma mala em hotéis. Quando você chega em um lugar novo e não conhece ninguém, o único lugar que você pode ir, se é famoso para jantar sozinho, é um cassino. Você vai lá, janta sem ninguém criticando você e então joga um pouco para dar a si mesmo alguma emoção, para lutar contra a chateação de ser você mesmo, para conseguir um pouco de excitação. Isso é tudo.”
O pensamento acima é bem triste. E bem diferente do que os fãs esperariam ouvir do ator que fez tantos personagens memoráveis. Omar nunca foi dos meus atores preferidos. Mas teve momentos que ficaram na história do cinema. Abaixo você pode ver alguns para relembrar:
Depois de fazer vários filmes no Egito, ele estreou em grande estilo no cinema americano com a super-produçãoLawrence da Arábia (1962), o clássico dirigido por  David Lean. Sua entrada no filme é clássica: no meio do deserto, chegando de preto, em grande contraste com o cenário. Por esse papel, Omar foi indicado ao Oscar e ganhou o Globo de Ouro de coadjuvante
(Eliane Munhoz, Blog de Hollywood, 2015)
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Dançando com o poder PAULO SILVA PINTO A viagem de Naji Nahas ao Rio de Janeiro em 1969 foi um prenúncio da alternância de tensão e euforia que traria ao mercado. Aos 24 anos, casado com uma brasileira, ele decidiu deixar o Líbano. Mas o conflito armado do país o seguiu. Em Paris, pegou um voo da Varig que acabou sequestrado por palestinos. Único passageiro a falar árabe, Nahas foi chamado para mediar a conversa. "Quando entro na cabine, vejo um maluco com uma cintura de granadas, um revólver e uma faca na cabeça do comandante", relatou certa vez. Conseguiu negociar. Em vez de seguir para Havana, como queriam os terroristas, o avião pousou no Galeão. Ao longo dos 44 anos seguintes no Brasil, Nahas tornou-se conhecido como investidor arrojado. Depois veio a quebra, o ostracismo e até a prisão por lavagem de dinheiro. Procurado pelo Correio, por intermédio de sua assessoria, na semana passada, ele não respondeu aos pedidos de entrevista. Nos anos 1970, ele investiu em agropecuária parte dos US$ 50 milhões provenientes da venda de fábricas de tecidos de sua família no Egito. Mas separou o suficiente para o glamour e o convívio com os poderosos. Abriu em São Paulo, em 1981, a casa noturna Regine"s, filial da Chez Régine em Paris. Na noite de inauguração, a primeira dama, Dulce Figueiredo, dançou com o ator Omar Sharif. Seus negócios passaram, então, a se concentrar na compra e na venda de ações. Considerado um operador pouco ortodoxo, ele foi advertido pela Bolsa de Valores de São Paulo em 1983. Nahas era acusado de ganhar com alavancagem e manipulação de cotações por meio dos chamados negócios Zé com Zé: ao comprar e vender para si mesmo, por meio de laranjas, valorizava artificialmente um papel. Rumo ao Rio Sem conseguir operar em São Paulo, foi para o Rio. A bolsa carioca, que perdia espaço, reverteu a tendência. Até que, em junho de 1989, veio a quebra. Na versão mais aceita à época , o presidente da Bovespa, Eduardo da Rocha Azevedo, acertou com os bancos a suspensão do financiamento a Nahas. Sem recursos para bancar as operações que já havia fechado, ele deu um calote, e levou junto seis corretoras às quais estava associado. Mesmo depois de zerado o rombo, a Bolsa do Rio nunca mais foi a mesma. Perdeu espaço definitivamente para a de São Paulo, à qual foi vendida muito tempo depois. "O Nahas não quebrou porque nunca foi inteiro", comenta Carlos Reis, que presidiu a Bolsa do Rio depois d.....
 (Inauguração Régine's Club São Paulo 31 de março 1981- Av. Brigadeiro Faria Lima)
 (Bagé RS 1981- Omar e Naji Nahas com colunistas sociais locais)
(Convite inauguração Régine's)
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O ator egípcio Omar Sharif, que fez "Lawrence da Arábia", "Doutor Jivago" e "Funny girl – Uma garota genial", morreu nesta sexta (10) aos 83 anos. Ele sofreu um ataque cardíaco em um hospital no Cairo, segundo seu empresário.
 
OMAR SHARIF
Ator morreu aos 83 ano
Nas redes sociais, celebridades lamentaram a morte do ator. Veja abaixo a repercussão:
Antonio Banderas, ator, no Twitter: "Meu grande amigo Omar Sharif morreu. Eu sempre sentirei falta dele. Ele foi um dos melhores. R.I.P."
Matthew Modine, ator, no Twitter: "Obrigado #OmarSharif - obrigado por sua inteligência, elegância e estilo. Você deixou uma marca permanente no cinema #RIP"
Josh Gad, ator, no Twitter: "É triste ouvir sobre #OmarSharif. Eu cresci com Lawrence e Jivago. Um legado com não um, mas vários clássicos intemporais."
Adam Horowitz, roteirista, no Twitter:"Lawrence da Arábia. Dr. Jivago. Funny Girl. Top Secret! E MUITOS mais. Se você não os viu, veja! RIP Omar Sharif."
Roland Emmerich, cineasta, roteirista e produtor, no Twitter: "Muito triste com a morte de Omar Sharif. Sou abençoado por ter tido a chance de trabalhar com uma lenda. Amor à família."
Wendell Pierce, ator, no Twitter: "Elegância e graça. Omar Sharif era um artista brilhante. Ele me transportou para mundos distantes em seus filmes. Uma estrela de cinema verdadeira! Descanse em paz."
Donal Logue, ator, no Twitter: "Omar Sharif RIP. Você era tão fantástico. Dr. Jivago, Lawrence da Arábia LENDA"
Tony Parsons, jornalista e escritor, no Twitter: "RIP, Omar Sharif - de uma época em que as estrelas de cinema eram tão grandes quanto a tela."
Christian Jessen, apresentador de TV, no Twitter: "Não posso acreditar que Omar Sharif morreu! Devo assistir Funny Girl e Funny Lady hoje de novo - Nicky Arnstein tributo!"
David Hepworth, jornalista e escritor, no Twitter: "Omar Sharif, o homem que fez a entrada mais memorável no cinema, foi embora"
Greg Pak, diretor e quadrinista, no Twitter: "Descanse em paz, Omar Sharif, bela estrela."
Ralph Macchio, ator de 'Karatê Kid', no Twitter: "RIP Omar Sharif - #LawrenceOfArabia uma das maiores introduções de personagens da história do cinema"
Harry Leslie Smith, veterano da Segunda Guerra Mundial, no Twitter: "Adeus a #OmarSharif você realmente foi um ícone do cinema"




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Zózimo, Roberto Dávila, Claudio Boechat ladeiam a RP Ana Maria Tornaghi no Rio de Janeiro em 1980, um ano dourado!



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